Les pilules contraceptives orales doivent être prises à la même heure chaque jour. Les nausées, les tâches, l’aménorrhée, la diminution de la libido et la sensibilité des seins sont parmi les effets secondaires possibles. Cependant, de nombreux symptômes disparaîtront avec l’utilisation continue. Les saignements irréguliers non planifiés sont fréquents et entraînent l’arrêt du traitement chez de nombreux nouveaux utilisateurs. Les données ne corroborent pas la perception du public quant à la prise de poids associée aux CSC. Dans l’ensemble, la plupart des utilisateurs de CSC n’ont pas d’effets secondaires et la grande majorité des effets secondaires observés sont mineurs.
Dans une étude Cochrane de 2011, les types de progestatifs contenus dans les contraceptifs hormonaux combinés à faible dose ont été comparés pour leur efficacité et leurs effets secondaires. Bien qu’aucune différence significative dans les taux de grossesse n’ait été observée, les pilules monophasiques de deuxième et troisième génération étaient moins susceptibles d’être abandonnées que celles de première génération ; cependant, la qualité globale des essais était faible. Sur liliecadette.com des articles au féminin sont disponibles.
Contrairement à la croyance populaire, l’utilisation d’antibiotiques n’est pas associée à l’échec de la contraception. Des études récentes ont montré que le seul antibiotique qui peut diminuer l’efficacité des COC est la rifampicine, qui induit les enzymes hépatiques qui métabolisent les stéroïdes. Il est prouvé que les antirétroviraux peuvent également diminuer le taux de stéroïdes ; les directives des CDC de 2016 peuvent fournir des recommandations spécifiques pour prendre soin des femmes atteintes du VIH.
Il a été démontré que certains anticonvulsivants diminuent l’efficacité des COC par le même mécanisme. Ceci est observé avec le phénobarbital, la phénytoïne, la carbamazépine, l’oxcarbazépine, le felbamate, le topiramate et la vigabatrine. On ne l’observe pas avec l’ethosuximide, la gabapentine, la lamotrigine, le lévétiracétam, la tiagabine, l’acide valproïque ou le zonisamide. Les implants et les DIU sont les méthodes préférées chez ces femmes.